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Haruna Darbo <[log in to unmask]>
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Tue, 23 Mar 2010 13:46:40 -0400
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the saving grace for democratic governance in Africa? That will depend 
to a large extent on the scope of independence of the executive and 
their regard for the rule of law. You will agree with me that there 
will be a good many ATT copy-cats only to regain their ethnic 
malignancies when they gain power. It is still very important to 
maintain ethnic fraternities as interest groups in all countries of the 
world. This will serve as check for democratic governance and the 
excesses of a disingenuous executive. So I say let us have another 
couple of Independent executives to test this solution. And still 
maintain the Freedoms of speech, expression, association, and assembly, 
be that in the form of ethnic fraternities and sororities or ethnic 
political parties. The proven record of such a system will benignly 
obviate the need for ethnic political parties. By default mind you. Any 
opposition party wishing to govern will have to be more plural than the 
domain of any one ethnicity.

These two articles culled from AFRIBONE-CN and AFP review independent 
candidate Almamy Ibrahima Barry for the Presidency of La-Guinea and the 
progress on voter registration in La-Guinea. Allez-Y mes compatriotes. 
Haruna.

Présidentielle guinéenne : Un économiste, candidat "indépendant"

Almamy Ibrahima Barry, banquier et économiste guinéen de 65 ans, s’est 
déclaré lundi à Abidjan, candidat "indépendant" à l’élection 
présidentielle du 27 juin dans son pays, afin de "mettre fin à 
l’ethnocentrisme".

"J’ai vécu 35 ans à Abidjan, c’est un clin d’œil et un geste de 
reconnaissance à la population ivoirienne", a affirmé M. Barry, lors 
d’une conférence de presse, pour justifier l’annonce de sa candidature 
depuis la capitale économique ivoirienne.

"Avant d’entamer ma campagne, il était bon que je dise au revoir et 
merci à la Côte d’Ivoire", a ajouté cet ancien haut fonctionnaire de la 
Banque Africaine de développement (BAD) qui veut combattre 
"l’ethnocentrisme au centre du débat politique en Guinée".

"Une candidature indépendante fait peur en Guinée, car elle mettra fin 
au monopole des partis politiques dont de nombreux dirigeants sont 
impliqués dans la gestion opaque des anciens régimes", a-t-il souligné.

Le scrutin présidentiel du 27 juin doit marquer la fin de la transition 
entamée le 15 janvier après la signature à Ouagadougou d’un accord de 
sortie de crise, consécutive au coup d’État militaire du 23 décembre 
2008.

Le général Sékouba Konaté, homme-clef de la prise du pouvoir par 
l’armée fin 2008 à Conakry, dirige la Guinée depuis que le chef de la 
junte, Moussa Dadis Camara, a été victime d’une tentative d’assassinat 
en décembre 2009.

Il préside la "transition" devant en principe aboutir à la première 
élection présidentielle libre depuis l’indépendance de la Guinée en 
1958.

ABIDJAN (AFP) - lundi 22 mars 2010 - 19h28

................

Reprise des opérations de recensement des Guinéens de l’étranger

A trois mois de l’élection présidentielle de juin en Guinée, le 
recensement d’électeurs potentiels installés à l’étranger, a repris le 
22 mars 2010. Lancées en septembre dernier, ces opérations avaient été 
suspendues après les événements du 28 septembre 2009, lors du massacre 
du stade de Conakry. Il s’agit, cette fois, de boucler le travail.

Quelque 56 000 Guinéens en âge de voter se sont fait enregistrer à 
l’étranger pendant la première phase du recensement. Mais d’après la 
Commission électorale, au total, il y aurait 2 millions d’électeurs 
guinéens potentiels de par le monde.

C’est pour ceux qui n’avaient pas eu le temps de se manifester en 
septembre 2009 que les opérations reprennent. Elles ont quelques jours 
de retard sur le calendrier d’origine.

La majorité des agents recenseurs n’a quitté Conakry qu’au soir du 21 
mars. Selon le président de la Céni, c’est à partir du 22 mars qu’à 
Abidjan, Dakar et Paris, ils ont recommencé à enregistrer les futurs 
électeurs ; pour Washington et New York, les opérations débuteront le 
24 mars.

La deuxième phase du recensement doit durer deux semaines. Elle se 
tient en tout dans dix-sept pays où la Guinée a une ambassade, là où 
vivent en priorité les Guinéens de la diaspora.

Aujourd’hui, ils sont pour l’essentiel installés en Afrique de l’Ouest, 
en France et aux Etats-Unis. Beaucoup avaient fui leur pays sous le 
régime de Sékou Touré, avant 1984.

Bien que certains aient déjà voté aux présidentielles de 1993,1998 et 
2003, les Guinéens de l’extérieur n’avaient jamais été officiellement 
et sérieusement recensés à des fins électorales ou autres.

Article publié le : mardi 23 mars 2010 par RFI

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