This is a landmark effort that could shore up small gains in the democratic life of West Africans. Not only that, it can minimize conflict between political parties and engender national ambiance between elections. It concretises the mere calls made by ruling parties to enjoin opposition parties in national development.
 
The specific aims of this effort are encapsulated in the following quote from the article:
"De par leur nature, les partis qui ne sont pas bien entretenus et qui fonctionnent mal ne peuvent produire qu'un leadership de mauvaise qualité, tant au niveau partisan que gouvernemental. Il est important de nos jours que les formations politiques ne soient pas seulement des machines pour la conquête de victoires électorales, mais qu'elles fonctionnent comme des moyens pour l'éducation du public, la formation de leaders, l'intégration nationale et l'acquisition de compétences durant les périodes inter-électorales."
 
By nature, the political parties which are less organised or have lesser means of functioning can only produce poor leadership qualities or de-minimis risk their message relegated to chatter and underground scheming. It is therefore important that political parties of today are not only mechanisms for churning out electoral victories, but that they become conduits and proving ground for public education, leadership development, national integration, skill development during inter-electoral periods.
 
I am confident this structure, if implemented properly in Gambia could dispense with allegations of electoral fraud and other malpractices levelled against Yahya and APRC and helps to level the electoral field as well as accrue national harmony and patriotism. I therefore encourage Gambia to join Ghana, Mali, The Netherlands, Benin, Ivory Coast, SierraLeone, Liberia, Nigeria, and Togo in the West Africa Regional Political Parties Programme - WARPPP) Haruna.
 
Courtesy: L'ESSOR
 
Financement public des partis politiques en Afrique : ESQUISSES D'UNE DÉMARCHE COMMUNE
l'Essor n°16285 du - 2008-09-15 08:00:00

Malgré les divergences sur la question d'un pays à l'autre, un consensus obtenu à Bamako pourrait servir de base de travail pour chaque pays

Les partis politiques sont un pilier majeur de la démocratie. Ils jouent un rôle dans la formation du gouvernement, la présentation de leaders aux niveaux national et régional et représentent un indispensable contre-pouvoir quand ils sont dans l'opposition. Paradoxalement en Afrique sub-saharienne en général et en Afrique de l'ouest en particulier, les partis politiques sont négligés au sein des institutions. Ils fonctionnent comme des organisations purement privées sans aucun intérêt national ou étatique.
De par leur nature, les partis qui ne sont pas bien entretenus et qui fonctionnent mal ne peuvent produire qu'un leadership de mauvaise qualité, tant au niveau partisan que gouvernemental. Il est important de nos jours que les formations politiques ne soient pas seulement des machines pour la conquête de victoires électorales, mais qu'elles fonctionnent comme des moyens pour l'éducation du public, la formation de leaders, l'intégration nationale et l'acquisition de compétences durant les périodes inter-électorales.
C'est pour toutes ces raisons qu'a été convoquée la troisième conférence des partis politiques de l'Afrique de l'ouest sur le thème : "le financement public des partis politiques en Afrique de l'ouest : la voie à suivre". Bamako a abrité vendredi cette rencontre dont la cérémonie d'ouverture a été présidée par le ministre de l'administration territoriale et des collectivités locales Kafougouna Koné représentant le chef de l'État. Cette ouverture s'est déroulée au centre international de conférences en présence du ministre des Enseignements supérieur, secondaire et de la Recherche scientifique, Amadou Touré, et du délégué général aux élections, Siaka Sangaré. On notait également la présence de leaders politiques et de députés.
Organisée par le Centre malien pour le dialogue inter partis et l'Institut des affaires économiques du Ghana, la troisième conférence des partis politiques de l'Afrique de l'ouest a regroupé des représentants du Bénin, de Côte d'Ivoire, du Ghana, du Libéria, du Mali, de Sierra Leone, du Togo et du Nigeria.
Les délégués de ces pays se retrouvaient pour débattre de sujets de préoccupation commune après les deux premières rencontres qui ont eu lieu à Accra au Ghana. En juillet 2006, les participants avaient planché sur le thème : "partis politiques et consolidation démocratique en Afrique de l'ouest". Le communiqué final entériné par les partis politiques des huit pays à l'issue de cette première conférence avait consacré en son article 7 la création d'un Programme régional des partis politiques d'Afrique de l'ouest (WARPPP : west africa regional political parties programme).
Pour donner suite à cette décision, la première conférence du WARPPP avait décidé l'installation d'un secrétariat co-assuré par l'Institut des affaires économiques du Ghana (IEA) et la fondation centre malien pour le dialogue inter partis et la démocratie (CMDID) avec l'appui de l'Institut néerlandais pour la démocratie multipartisane.
En mai 2007, le WARPPP s'est retrouvé à nouveau au Ghana sur le thème : "50 ans d'indépendance en Afrique de l'ouest : quel rôle des partis politiques, espoir et déception". La session, organisée en marge des festivités du 50è anniversaire de l'indépendance du Ghana, a permis aux partis politiques de jeter un regard rétrospectif sur leur parcours d'acteurs de la démocratie et du développement.
Vendredi, pour leur troisième conférence, le rendez-vous était bamakois pour les huit pays. "Il ne fait donc plus de doute que notre projet de 2006 est devenu réalité. Le programme régional des partis politiques de l'Afrique de l'ouest existe et est fonctionnel", a indiqué le vice-président de la CMDID, le Dr Amadou Sy. Les acteurs politiques disposent donc d'une plate-forme dans l'espace Cedeao.
La thématique de la rencontre, a rappelé Kafougouna Koné, entre dans le débat politique au Mali. Dès la création du WARPPP en 2006, la problématique du financement public des partis politiques avait été fortement soulignée comme axe de réflexion des formations. Durant 2 jours, les participants ont ainsi discuté de ce financement public à la lumière de leurs expériences propres. Les échanges devraient les conduire à formuler une orientation commune aux pays de l'Afrique de l'ouest sur le financement public des partis politiques. En dépit des divergences sur la question, un consensus obtenu à Bamako pourrait servir de base de travail pour chaque pays.

S. DOUMBIA





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