Since the International Tourism Hall in Mali was inaugurated, the value of Mali's diverse ethnicities has another opportunity to be manifested and developped further. The economic significance aside, I think a comprehensive ethnic integration in this way is both honourable and enriching. I encourage the people and government of La Guinea to collaborate with the people and government of Mali, Senegal, Burkina Faso, Ivory Coast, and Gambia to harness their common cultural synergies. Haruna. Laye and Evian, don't just stop at watching the picture. Read the friggin article. I have intentionally buried the translation inside. Darbo.
1ère édition du Sitour : BÉNÉFIQUE À TOUS ÉGARDS
l'Essor n°16305 du - 2008-10-20 08:00:00

Tous les invités ont trouvé leur compte, notamment les offices du tourisme des 8 pays de Uemoa, de la Mauritanie et du Nigeria

1ère édition du Sitour : BÉNÉFIQUE À TOUS ÉGARDS

Le 1er Salon international du tourisme, en ouvrant ses portes vendredi dernier au Centre international de conférence de Bamako, ambitionnait de mettre en évidence les fortes potentialités touristiques du Mali et des pays participants, afin d'assurer une meilleure visibilité de leurs produits touristiques complémentaires et de stimuler la demande touristique. Au moment où les rideaux se tiraient sur l'événement hier dimanche, cet objectif semblait être atteint à tous égards. La grandiose cérémonie d'ouverture qui a présenté un échantillon de la culture malienne et africaine composée des chasseurs de Bamako, du chamelier touareg en passant par les acrobatiques Tiéblénké de Kolokani, le ballet Kélété, les fantastiques masques de Mahou (Sikasso), les légendaires masques Dogon, la troupe de danse venus spécialement de la Guinée Conakry, le groupe de musique touareg Tartite et l'Ensemble instrumental, constituait le prélude d'un événement mémorable.
Le Premier ministre Modibo Sidibé qui a présidé la cérémonie d'ouverture, lui aussi présageait déjà cette issue heureuse, convaincu que le tourisme peut bien contribuer à atteindre l'objectif de 7% de croissance que notre pays s'est donné pour 2009. Pour Modibo Sidibé, ce secteur a besoin de ressorts nouveaux pour pouvoir jouer pleinement son rôle. N'Diaye Ba, ministre de l'Artisanat et du Tourisme lui aussi a vu juste non seulement en prenant l'initiative d'organiser ce salon, mais aussi en invitant ses collègues de la sous- région à y participer. La solution à l'étroitesse de nos marchés locaux est toute trouvée avec l'ouverture des frontières touristiques a reconnu N'Diaye Ba auquel le chef du gouvernement a rendu hommage pour avoir su bien organiser cette rencontre. Modibo Sidibé a souhaité que cette "édition initiale ne soit pas la dernière".
Cette conclusion du PM résume en elle seule toute la problématique posée par l'organisation du Sitour. Le ministre de l'Artisanat et du Tourisme s'est dit convaincu que le salut de notre tourisme se trouve dans l'élargissement des frontières, ce qui permettrait de faire du tourisme inter-États une réalité dans la sous-région. Il existe certes des tentatives, certaines agences du Burkina qui vendent le pays Dogon ou Tombouctou, et des Sénégalaises qui conduisent leurs clients jusqu'à Kayes. Mais cela n'est pas suffisant, car il faut formaliser ces liaisons, mais aussi concevoir de véritables programmes qui permettront aux touristes de pouvoir aller du Sahara jusqu'aux zones forestières et côtières.
Cet fut un événement où tous les invités ont trouvé leur compte, notamment les offices du tourisme des 8 pays de Uemoa, de la Mauritanie et du Nigeria, soit un total de dix vendeurs qui ont exposé chacun la culture de leur pays. Le rôle des offices étant la mise en valeur, la promotion et surtout la réglementation de la chose touristique d'un côté. De l'autre les agences de voyage, les hôtels, les agences de location de voiture et de bateau, les compagnies aériennes, les festivals du Mali, les artisans et même des Ong qui s'occupent aussi de tourisme qui ont tenu tous à être présents. Au niveau de leur stand et au cours de différents échanges ces derniers semblent avoir tiré profit de ces trois jours de salon. Ils affirment en chœur leur grande satisfaction.
Il y eut surtout les acheteurs: voyagistes et tours opérateurs, ceux qui commercialisent les produits touristiques sur les marchés émetteurs et de la presse spécialisée, et le grand public, sans lesquels il n'y a pas de salon. Les voyagistes, ont d'abord commencé le salon par quatre jours de voyage appelé Eductour à travers le pays. Ceux d'entre eux qui n'avaient pas l'habitude de vendre notre pays ne tarissaient pas d'éloges sur Bamako, le Pays Dogon, Mopti, Sékoro, Ségou, Terryabougou, San et Djenné. Ils ont promis de revenir pour concrétiser les contacts initiés au cours de ce voyage.
Ces différents échanges auront sans doute "abouti à la signature de contrats en vue d'une plus grande commercialisation de notre produit touristique, afin de créer plus de richesses pour nos populations et réduire la pauvreté" tel est maintenant le vœu cher à N'Diaye Ba.
En attendant place au Festival international du tourisme solidaire qui s'ouvre ce matin au Centre international de conférence de Bamako.

Y. DOUMBIA



Stay up to date on your PC, the Web, and your mobile phone with Windows Live. See Now ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ To unsubscribe/subscribe or view archives of postings, go to the Gambia-L Web interface at: http://listserv.icors.org/archives/gambia-l.html

To Search in the Gambia-L archives, go to: http://listserv.icors.org/SCRIPTS/WA-ICORS.EXE?S1=gambia-l To contact the List Management, please send an e-mail to: [log in to unmask] ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤