Bro Haruna,
Thanks for your timely forwards about Guinea Conakry. Excuse my lack of fluency in French. I also understand your support of Dadis, meaning to give him the benefit of doubt fully. I am becoming scared by the hour about happenings in Guinea Conakry. This owes partially to what Gambians have encountered. If my young age can remember well, it was the same way Jammeh started. He grew poisonous tentacles by the hour and ended up growing to a full size dictator. It is a political toad-metamorphosis, from one stage to another until they reach to a full size to where they can croak like limping frogs. If Dadis have a way emulating Tumani of Mali or Obasanjo of Nigeria, he could help safeguard his country’s threatening image. Where he (Dadis) chooses to stay, I truly wish him well, and I only hope his actions won’t disappoint us. I, for one bit, won’t doubt your wishing “guidance” and “success” for him, but there got to be that moment when one holds onto his breathe, and says “Wait a second now!”
The links below as forward by Dr. Jaiteh echoed in my ears….and it sent waves of panic attacks in my heart.
http://www.foroyaa.gm/modules/news/article.php?storyid=3490
Kind regards,
Yj
There is no god but Allah (SWT) and Muhammad (SAW) is His messenger. Fear and Worship only Allah alone!
Guinée |
Echauffourées à Conakry, au moins 11 opposants blessés |
Au moins onze opposants ont été blessés lundi à Conakry lors de la répression par les forces de l’ordre de manifestations hostiles à une éventuelle candidature du chef de la junte, le capitaine Moussa Dadis Camara, à l’élection présidentielle de janvier en Guinée.Ces violences interviennent au moment où la communauté internationale fait pression sur le chef des putschistes, au pouvoir depuis le coup d’Etat du 23 décembre 2008, pour qu’il respecte ses engagements de ne pas se présenter au scrutin et laisser ainsi le pouvoir aux civils.Les jeunes avaient commencé à se rassembler,20avec des pancartes où on pouvait lire "non à Dadis" et "à bas l’armée au pouvoir", devant le plus grand stade de la ville, qui avait été fermé et aux alentours duquel un important dispositif de forces de l’ordre avait été déployé.La junte avait interdit dimanche ce rassemblement pour ne pas troubler l’ordre public avant la fête de l’indépendance le 2 octobre mais les "forces vives" (partis politiques, syndicats et société civile) avaient maintenu le mot d’ordre. Samedi, le chef de la junte s’était rendu à l’intérieur du pays pour la première, défiant ses "détracteurs" en se rendant par la route à Labé, deuxième ville du pays et fief de l’opposition, déclarée "ville morte" par les partis politiques et les syndicats.AFP. |