I agree Karim and any nation that neglects the health of its fish population is a pandemic waiting to erupt. Thanx for the education Karim. It is indeed easy to overlook the importance of ecological health for lower animals especially without the comprehensive knowledge you possess of the linkages. Haruna. -----Original Message----- From: abdoukarim sanneh <[log in to unmask]> To: [log in to unmask] Sent: Thu, Nov 26, 2009 7:12 am Subject: Re: A new ecology provides hope for the fish populations. Haruna Thanks for such an ecological development. Fish are bio-accumulators and accumulate heavy metals such as like mercury and others and thus pass it into the food chain. Fish farming in aquatic ecologies like streams. lakes etc should be properly monitored to prevent polluntant discharges and proper water quality monitoring regimes and sampling. You know in places where people are hunger and there is a serious deficit of animal protein, food standard is a things of the pass. Date: Wed, 25 Nov 2009 13:51:06 -0500 From: [log in to unmask] Subject: A new ecology provides hope for the fish populations. To: [log in to unmask] Take the fish out of polluted rivers and streams, nurture them in rice bogs. But continue to check the pollution of the fish original habitat. Haruna. Then you fish in those fish farms for the fish that you and your friends eat while you're cleaning the rivers of pollutants and sources of pollution. So how do you create this fish farm in a rice bog you may ask Karim. I'll come back to that later.Allez. Al Mu'Umin. OPIB : RIZ ET POISSON, LES PAYSANS FONT COUP DOUBLE l'Essor n°16576 du - 2009-11-24 08:00:00 Le poisson est une source de protéine très utile à l'équilibre alimentaire de l'homme. Malheureusement, de nos jours, les ressources halieutiques de nos cours d’eau, notamment celles du fleuve Niger, s'amenuisent progressivement à cause de la pollution et des effets du changement climatique. Un bureau de mission travaillera avec tous les partis se réclamant des idéaux des présidents Mamadou Konaté et Modibo Keïta Cette situation a conduit les pouvoirs publics à promouvoir la pisciculture. Les techniques d’élevage des poissons hors de leur milieu naturel sont diverses. L'une des plus originales est la rizipisciculture. Ce procédé consiste en l'aménagement des périmètres rizicoles pour faire cohabiter les poissons et le riz sur une même parcelle. Les premières parcelles d'expérimentation de cette technique sont implantées à Baguinéda, à 35 km de Bamako. Le ministre de l’Elevage et de la Pêche, Mme Diallo Madeleine Bâ, y était en visite samedi. Elle était accompagnée de responsables des services techniques de la pêche. Grâce au concours de techniciens chinois et thaïlandais à travers le Programme conjoint d'appui à la recherche dans les domaines de l'aquaculture et de la pêche de l'USAID dans notre pays, des périmètres test de rizipisciculture ont été installés dans le périmètre irrigué de Baguinéda. Les espaces sont aménagés dans les champs de quatre paysans qui se sont portés volontaires. Les parcelles accueillent un étang occupant 18% de leur surface totale. L’installation est composée d'une cavité de 6 mètres de diamètre qui sert de refuge aux alevins. Ce trou est raccordé à des tranchées pour permettre aux poissons de se mouvoir. Ainsi, on peut produire du poisson et du riz avec la même quantité d'eau par irrigation, explique Alassane Touré, le directeur régional de la Pêche de Koulikoro. La rizipisciculture est pratiquée depuis longtemps dans les pays asiatiques notamment en Chine et en Thaïlande. Elle est très profitable, assure Liping Liu, de l'Université océanique de Shanghaï en Chine, partenaire du projet d'expérimentation. Selon lui, un et un font quatre dans le langage de la rizipisciculture. Explications : à partir du riz et du poisson, on obtient la sécurité écologique, la sécurité alimentaire, la promotion sociale par la création d'emplois et l'amélioration des revenus des paysans. Les poissons en se nourrissant des prédateurs des plantes évitent l'emploi des pesticides en préservant la qualité des sols. Leurs excréments servent d'intrants aux cultures et enrichissent le sol. Mamadou Samaké est l'un bénéficiaires du projet test de Baguinéda. Il témoigne : "cette année, je n'ai pas eu besoin de faire autant d'entretien dans mon champs que les années précédentes". Néguessé Diarra du village de Sondougouba, confirme ces propos. Lui a remarqué que le rendement de son champ s'est notablement amélioré. « En comparaison avec une parcelle ordinaire, la qualité des récoltes est nettement meilleure », juge-t-il. Au regard des différents avantages qu’offre la technique, les paysans ont vite adhéré. A la grande satisfaction des techniciens dont, Seydou Bassié Touré, le directeur de l'Office du périmètre irrigué de Baguinéda (OPIB). Pour lui, la rizipisciculture est une excellente opportunité pour permettre aux paysans de sortir de la pauvreté et de la sous-alimentation. « C'est une double source de revenus pour eux. Le poisson et le riz sont deux éléments de base dans l'alimentation dans notre pays », fait remarquer le patron de l’OPIB. C. A. DIA To unsubscribe/subscribe or view archives of postings, go to the Gambia-L Web interface at: http://listserv.icors.org/archives/gambia-l.html To Search in the Gambia-L archives, go to: http://listserv.icors.org/SCRIPTS/WA-ICORS.EXE?S1=gambia-l To contact the List Management, please send an e-mail to: [log in to unmask] ���������������������������������������������������������� To unsubscribe/subscribe or view archives of postings, go to the Gambia-L Web interface at: http://listserv.icors.org/archives/gambia-l.html To Search in the Gambia-L archives, go to: http://listserv.icors.org/SCRIPTS/WA-ICORS.EXE?S1=gambia-l To contact the List Management, please send an e-mail to: [log in to unmask] ���������������������������������������������������������� New! 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