I think this is malignantly disproportionate and burdensome. I encourage Hon. Kafougouna Kone to consider restoring the dynamism in Mali life that all Malians are efforting to maintain. The 9-1 representation in the CENI (IEC) is severely malignant and aides in freezing Mali's growth and development. I encourage Hon. Kone to reconsider this tyrannous state of affairs and bear on more sobriety. It will have been a grave mistake for Mali if one individual or a few privileged individuals attempt to disenfranchise a unique minority of Malians. I encourage the aversed political parties to challenge this prospect in Mali's court and I encourage Mali Jurisprudence to order an injunction that restores sanity and equity in Mali's electoral project. Haruna. There is no such thing as a moderate or radical opposition in the eyes of the electoral commission. Such demagoguery is reserved for tyrannous regimes.

Mise en place de la CENI : Le général Kafougouna Koné annonce l’exclusion de l’opposition radicale
Ignorant le différend qui oppose majorité et opposition autour des 10 représentants de la classe politique pour la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le conseil des ministres a adopté le mercredi 7 septembre 2011 un projet de décret portant nomination des membres de la CENI. Le gouvernement qui ne veut pas perdre son temps dans des querelles politiciennes, a ainsi écarté l’opposition radicale qui revendiquait 5 sièges au profit de l’opposition modérée incarnée par les partis ayant siégé dans les CENI de 2002, 2004 et 2007. Une information confirmée par le ministre de l’Administration territoriale et des Collectivités locales, le général Kafougouna Koné en personne.
Comme annoncé en Août dernier par le directeur national de l’intérieur sur les plateaux de la télévision nationale, le ministère de l’Administration territoriale et des Collectivités locales a décidé de prendre ses responsabilités dans le processus de mise en place de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) devant superviser les élections générales de 2011.
Un processus jusqu’ici bloqué par une querelle entre la majorité et l’opposition autour l’attribution des 10 sièges affectés aux partis politiques. Ainsi, le conseil de ministres du mercredi, conformément aux textes en la matière, a adopté le projet de décret portant nomination des membres de ladite CENI.
Ce projet de décret stipule que « sur le rapport du ministre de l’Administration Territoriale et des Collectivités Locales, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret portant nomination des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Dans le souci d’assurer la régularité et la transparence dans l’organisation du référendum et des élections, il a été institué une Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) chargée de la supervision et du suivi du référendum, de l’élection présidentielle et des élections générales législatives et communales. La Loi électorale N°06-044 du 4 juin 2006 dispose que la CENI est composée de quinze membres choisis suivant les critères de compétence, de probité, de bonne moralité et d’impartialité. Aux termes du présent projet de décret, conformément à la loi électorale, les membres de la CENI sont désignés comme suit : 10 Membres désignés par les Partis politiques ; 1 Membre désigné par les confessions religieuses ; 1 membre désigné par le Syndicat Autonome de la Magistrature ; 1 membre désigné par le Conseil de l’Ordre des Avocats ; 1 membre désigné par les Associations de Défense des Droits de l’Homme ; 1 membre désigné par la Coordination des Associations et Organisations Féminine s ».
Joint au téléphone, le ministre de l’Administration territoriale et des collectivités locales, le général Kafougouna Koné, a expliqué que l’Etat s’est vu dans l’obligation de composer avec l’opposition modérée qui a accepté le principe d’un siège contre 9 pour les partis de la majorité présidentielle. Cette opposition modérée est, dit-il, représentée par les partis qui ont représenté l’opposition dans les CENI de 2002, 2004 et 2007. C’est dire que l’opposition radicale qui revendique les 5 sièges et qui est représentée par des partis comme Sadi, l’UNPR….est exclue de la CENI. Face aux menaces d’une action en justice d’Oumar Mariko et alliés, le ministre de l’Administration territoriale et des collectivités locales répond qu’ « elle peut porter plainte et on verra ». Il assure que la CENI mise en place par le décret du mercredi dernier va rapidement commencer ses activités.
Abdoulaye Diakité
L’Indicateur du Renouveau
9/9/2011


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