Haruna,

The developing countries are the new frontier/ up and coming investment haven/emerging markets because these ones here have all been milked dry and if care is not taken by those countries, they will wake up to find that the entire economy is in the hands of western investors because they have the money and our people do not. Scary stuff!
Jabou







-----Original Message-----
From: [log in to unmask]
To: [log in to unmask]
Sent: Wed, 8 Apr 2009 6:39 pm
Subject: Oh my God!!! They fucked up America and now they want to screw Senegal. Beware!














What is Wall Street?


Nothing really.


What it purports to be is a clearinghouse of value to attract capital from
investors.


What ends up happening is that if you're senegal for example, and you have
phosphates etc. They will tell you we can raise capital for the efficient
exploitation of your phosphates. Guess who underwrites these cockamayme schemes?
You got it - IMF and the World Bank. Then they tell you you gotta buy risk
insurance from friggin AIG. And then they milk the worth of that insurance
because they know you'll never collect on that insurance regardless of whether
you sustain the risk or not. Trust me I know what am talking about. Market
Research my big beautiful black arse. I know the Senegalese love shiny stuff but
you better be sober when you receive grants, loans and gifts from Wall Street.
They got a whole lot more Madoffs than the entire Senegal
 has. Word to the wise.
They are eyeing the pledge made by the G-20 to infuse capital into poor
under-developped nations through the World Bank. That's a boomerang fund. Comes
in one hand and out another and more. Just ask Zimbabwe. Haruna. When I
have time, I will summarize/translate the article below to yield the requisite
caution. Meantime, enjoy.


 


LE SENEGAL A LA UNE DU WALL STREET MARKET
RESEARCH Les opportunités d’investissement en
vitrine

par Bakary DABO | SUD
QUOTIDIEN , vendredi 3 avril 2009 | 858 Lectures


Le guide international des investissements Wall Street Market
Research (Wsmr) va consacrer un « Spécial Sénégal » qui doit paraître
en décembre prochain à l’occasion du Fesman 2009. L’équipe du guide
d’investissement qui est présent depuis un moment à Dakar, managée par Kamel
Benloukil, directeur du projet Wall Street Market Research spécial Sénégal,
prospecte les secteurs porteurs qui pourraient susciter l’attention de
l’investissement direct étranger.




Après le Maroc, l’Egypte, Bahrain, Abu Dhabi, Koweït entre autres,
le Wall Street Market Research (Wsmr) s’intéresse au Sénégal. Cette revue de
renommée internationale distribuée dans les plus prestigieux salons d’affaires,
les aéroports internationaux, la Bourse de New York, le Fmi, la Banque mondiale,
à l’Usaid…projette de faire un r
ound up sur les opportunités d’affaires et les
niches d’investissement que présente le Sénégal.


C’est ainsi que, accompagné de Mme Fabiola Riobe,
coordonnatrice du projet, M. Kamel Benloukil, directeur du projet Wall
Street et Market Research spécial Sénégal, explique que le document dont son
équipe compte réaliser sur le Sénégal sera une opportunité de présenter, aux
potentiels investisseurs, un réseau d’entreprises sénégalais. Ce qui, à son
avis, va permettre de créer des partenariats financiers, techniques, mais
également de transfert de technologie avec des sociétés étrangères pour
promouvoir l’investissement direct étranger. M. Benloukil explique que le
choix porté sur le Sénégal avec l’arrivée du Fesman est à son avis, un des plus
grands événements d’Afrique.


Faisant une analyse globale de la situation mondiale actuelle, le
directeur du projet Wall Street et Market Research spécial Sénégal pense que
« grâce à la crise financière internationale, l’Afrique est vue comme une
destination potentielle d’investissement. On a vu que les continents tels que
l’Europe, l’Amérique et l’Asie sont en chute terribles en terme
d’investissement. Aujourd’hui, ces hommes d’affaires sont à la recherche
d’opportunités en Afrique parce que dans ce continent tou
t est à refaire et le
Sénégal est vu en tant que destination spécifique dans le sens où il a une
stabilité politique et économique ». Kamel Benloukil défend que « le
Sénégal est vu comme un des pays où il n’y a jamais eu de coup d’Etat d’où
également l’arrivé du FESMAN 2009 en tant que plus grand événement de l’année en
Afrique ».


Selon lui, « c’est la raison pour laquelle, on a eu de nos
hommes d’affaires internationaux, à travers une enquête que nous avons réalisé,
des retours positifs sur le Sénégal en terme de recherche d’informations. Ils
demandent à avoir entre autres un guide qui leur présente des opportunités
d’affaires sur le pays ». Il estime que : « aujourd’hui, le
Sénégal offre de grandes opportunités. Si Wall Street Market Research se déplace
au Sénégal, c’est qu’il y a un grand intérêt en terme d’opportunité
d’affaire ».


A l’heure actuelle, a-t-il poursuivi : « on est là pour
proposer à la communauté internationale des opportunités d’affaire qui peuvent
se présenter à eux. Par la même occasion, j’invite le secteur privé et l’Etat à
nous rencontrer. Notre point de départ pour toute publication est de montrer la
vision
 du plus haut dirigeant du pays. C’est pourquoi nous souhaiterions
solliciter une audience dès que possible avec le Président de la République pour
avoir sa vision en tant que chef d’Etat. Ce qui nous permettra d’avoir, d’une
part, sa vision générale et en suite le secteur privé qui est notre principal
cible ».


Malgré ces points positifs relevés, M. Benloukil estime que
« l’une des principales difficultés que le pays a c’est le manque
d’infrastructures et le manque de supports financiers. On souhaite mettre en
avant ces secteurs, même s’ils enregistrent de bons résultats ». C’est
ainsi que ce guide va mettre l’accent sur les principaux secteurs qui sont entre
autres : l’agriculture, le tourisme, le secteur énergétique, les
infrastructures…


Il rappelle que le guide est distribué en deux cent mille
exemplaires dont 150 mille à l’international et 50 mille au niveau local.
M. Benloukil pense qu’ave le guide « le pays va bénéficier d’une
reconnaissance vis-à-vis des potentiels partenaires et des investisseurs
étrangers ». Il fait savoir que le document va également aider le Sénégal à
se démarquer en tant que destination d’affaire pour cibler principalement les
hommes d’affaires venant des Etats-Unis, du Golf et du monde
entier.





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