to get serious about the war on drugs.


It is the single most debilitating activity for Africans especially in this era of economic stringency. The excuse that West Africa is only a transit point is so idiotic and fatalistic that the entire populations risk becoming drug addicts unawares. That coupled with the transhipment of arms and munitions used to sustain client states and Presidents are a deadly concoction. I say sever all air flights to and from source countries in Latin America and refuse all "aid" from there. Control immigration into and emigration out of the subregion. Even other Africans. Haruna.

Courtesy: Inter-Bamako.


Marché de drogue : Moussa Davis Camara s’attaque à plus fort que lui 

Le jeune capitaine Moussa Davis Camara, président de la junte militaire qui a pris le pouvoir en Guinée, le 23 décembre dernier, avait ravi la vedette à tous les présidents de la sous- région Ouest africaine. Il s’attaque à un fléau qu’est le trafic de drogue. La vente ou le trafic de drogue est un réseau des «grands».


Au cours des années 1980, l’ouverture de lignes aériennes directes entre l’Amérique Latine et l’Afrique, déjà desservie par les lignes vers l’Inde, a fait du continent, notamment le Nigeria, la Guinée, une zone de transit de la drogue destinée au marché européen.


L’Afrique n’est pourtant pas nouvelle dans le monde des drogues et excitants et le commerce de la noix de cola, qu’on ne saurait toutefois pas confondre avec les stupéfiants, et là pour nous rappeler leur importance. Combattre la drogue et les trafiquants est une lutte de longue haleine. C’est un combat perdu d’avance. Quand on sait que le trafic de drogue est un réseau bien structuré, bien organisé, bien coordonné où chaque membre du groupe y gagne.

En s’engageant dans ce combat, Moussa Davis Camara se trouverait dans un choix cornélien : son pouvoir ou périr comme Thomas Sankara qui dérangeait les présidents Mitterrand de la France et Houphouët-Boigny de la Côte d’Ivoire à l’époque. Alors attention mon capitaine. La Colombie, un Etat de l’Amérique du Sud, exportateur de drogue, est lourdement endettée. Le pays peine aussi pour résoudre le problème de la production et du commerce de la drogue, dont son budget en dépend. Les militants de la cocaïne sont plus nombreux que ceux des partis politiques. Son argent nourrit beaucoup de régimes, fait et défait aussi les présidents africains.

A bon entendeur salut !

F.K

02 mars 2009
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
To unsubscribe/subscribe or view archives of postings, go to the Gambia-L Web interface
at: http://listserv.icors.org/archives/gambia-l.html

To Search in the Gambia-L archives, go to: http://listserv.icors.org/SCRIPTS/WA-ICORS.EXE?S1=gambia-l
To contact the List Management, please send an e-mail to:
[log in to unmask]
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤