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Haruna Darbo <[log in to unmask]>
Reply To:
The Gambia and Related Issues Mailing List <[log in to unmask]>
Date:
Mon, 24 Jan 2011 21:19:21 -0500
Content-Type:
multipart/alternative
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text/plain (5 kB) , text/html (9 kB)
to apprehend Gbagbo and remove him from the state house of Ivory Coast. I  

wish ECOWAS honoured me with the planning of this very easy surgical 

operation.  There will not be a single loss of life or injury. Word!!!

Haruna.

 

 

Autres  Actus

La Cédéao deamande à l’ONU  d’autoriser la force contre Gbagbo 

 

Si le camp Gbagbo n’y croyait pas,  il devrait peut-être changer d’opinion 

: la menace du recours à  la force par la Cedeao contre le régime du 

président sortant se  renforce chaque jour. Ce lundi, la Cedeao présidée par le 

Nigeria  demande à l’ONU d’approuver une telle éventualité. 

Goodluck Jonathan passe à la vitesse  supérieure. Et avec lui, toute la 

Cedeao. Alors que le président  ivoirien élu et reconnu par la communauté 

internationale a demandé  l’arrêt des exportations de café et de cacao en Côte d’

ivoire (la  dernière ressource économique du régime de Laurent Gbagbo), le  

Nigeria demande officiellement au Conseil de sécurité de l’ONU de  voter 

une résolution autorisant l’usage de la force pour déloger le  président 

ivoirien sortant. 

C’est l’objet d’une lettre ouverte du ministre  nigérian des Affaires 

étrangères Odein Ajumogobia publiée ce lundi  dans plusieurs journaux. « La 

Communauté économique des États  d’Afrique de l’Ouest [Cedeao, présidée par le 

Nigeria, NDLR] réclame  sans équivoque un soutien international via une 

résolution  spécifique du Conseil de sécurité des Nations unies pour valider  l’

usage de la forcee, mais en dernier recours », écrit  M. Ajumogbia. 

Selon lui, la crise post-électorale ivoirienne peut  déboucher « sur une 

véritable guerre civile » et elle  « a été précipitée par le seul Laurent 

Gbagbo ». Autant  dire que si l’ONU parvenait à voter une telle résolution, 

malgré les  divisions en son sein, ce serait un coup extrêmement dur porté  

contre le régime du président sortant. Lequel a enregistré ces  derniers temps 

de nombreux échecs diplomatiques. (Avec AFP) 

24/01/2011 à 11h:35 Par Jeune  Afrique 

.................................... 

Côte d’Ivoire : le Nigeria  veut une résolution de l’ONU autorisant la 

force 

Le Nigeria demande au Conseil de sécurité de l’ONU  d’autoriser l’usage de 

la force en Côte d’Ivoire pour chasser  Laurent Gbagbo du pouvoir, déclare 

le ministre des Affaires  étrangères Odein Ajumogobia dans une lettre 

ouverte publiée par  plusieurs journaux lundi. 

"La Communauté économique des Etats  d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) réclame 

sans équivoque un soutien  international via une résolution spécifique du 

Conseil de sécurité  des Nations unies pour valider l’usage de la force", 

mais "en  dernier recours", écrit M. Ajumogbia. 

Selon lui, la grave crise actuelle "va forcément  déboucher sur l’anarchie, 

et le chaos, ou pire, une véritable guerre  civile". Elle "a été précipitée 

par le seul Laurent Gbagbo", le  président sortant ivoirien qui refuse de 

céder sa place à Alassane  Ouattara, ajoute le chef de la diplomatie 

nigériane. 

M. Ouattara est reconnu comme président élu de  Côte d’Ivoire par la 

majeure partie de la communauté internationale  après l’élection de novembre 

dernier. 

Le président nigérian Goodluck Jonathan, actuellement  à la tête de la 

Cédéao, laquelle a déjà menacé M. Gbagbo de  l’usage de la force. 

"Il faut que Gbagbo comprenne qu’il y a une  perspective très réelle qu’

une force militaire massive lui tombe  dessus et sur ses cohortes". "C’est 

seulement à ce moment qu’il  prendra sérieusement en considération les 

exigences de son départ",  ajoute M. Ajumogbia. 

D’après le ministre nigérian cependant, "l’utilisation  de la force 

légitime" ne doit pas forcément signifier une  intervention terrestre et pourrait 

inclure un blocus maritime pour  imposer des sanctions. 

La force de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci) comprend  9.500 hommes, des 

effectifs que le Conseil de sécurité a décidé la  semaine dernière d’augmenter 

de 2.000 hommes. 

"Le mandat de l’Onuci, cependant, est devenu tout à  fait inadapté pour 

garantir la paix et la sécurité dans le pays",  selon lui. 

Interrogé à ce sujet par l’AFP, le ministre nigérian a  précisé : "ce que 

je veux dire c’est que le recours de la force  par la Cédéao en Côte d’

Ivoire doit se faire sous l’égide des  Nations unies et sans une resolution du 

Conseil de sécurite de  l’ONU, un recours à la force de la Cédéao ne serait 

pas  légitime". 

LAGOS (AFP) - lundi 24 janvier 2011  - 13h17 



 



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