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The Gambia and Related Issues Mailing List <[log in to unmask]>
Date:
Tue, 15 May 2012 17:44:26 -0400
Content-Type:
multipart/alternative
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 Yes, this handsome fellow is one of the interventionist forces of Mali Kukeh. Do I really have to translate the interview Kukeh??? After all these years of laboriously translating into French, you still cannot speak French Kukeh!!!!! Galleh could be forgiven for being occupied otherwise, but you Kukeh, there was nothing happening in Columbia except heavy rains and tropical storms. I don't know where I'm gonna get the time to translate. I think King Bamba, Cous. Saiks (or is it Norweigian), or Cousin Modou speak French too. I wonder if they can help us here??

 
Jakhankoolu!!!!!!!!! WHew.

Haruna.

 

-----Original Message-----
From: Malanding Jaiteh <[log in to unmask]>
To: GAMBIA-L <[log in to unmask]>
Sent: Tue, May 15, 2012 4:01 pm
Subject: Re: [G_L] You can't help but admire Captain Amadou Haya Sanogo, leader of the interventionist CNRDRE. Haruna.


              Haruna,
    I don't speak Francais, isn't this fellow the coupist? admire?
    
    Malanding
    
    
    
    On 5/15/2012 3:55 PM, Haruna wrote:    
Here's an exclusive interview conducted          of Captain Sanogo by Dicko, Dakuo, and Diabate of The Tribune          (Pretoire) newspaper.
          
                
Amadou Haya Sanogo,            président du Cnrdre : « J’ai tué des mercenaires sur le            terrain et on en a capturé avec leurs armes » 
        
        

              
        
Qu’on l’aime ou qu’on le            déteste, cela ne changera rien au franc-parler du capitaine            Sanogo, même si pour certains sujets il se veut moins            loquace, se cachant derrière la discrétion naturelle du            militaire. Mais lorsque dans le jeu des questions on le            pousse jusque dans son dernier retranchement, il explose et            cherche à convaincre avec arguments et preuves. Avouons-le,            à sa place, l’exercice n’est pas facile car chacun de ses            mots est répété et interprété. Mais dans le fond, ses idées            ne manquent pas de piquant. Lire cet entretien exclusif            qu’il nous a accordé pour s’en convaincre.
        
            

              
        
Le prétoire : Après la            décision de la Cedeao, que vous considérez d’ailleurs comme            unilatérale, quant à l’application de l’Accord-cadre,            pourquoi avez-vous dépêché une mission à Ouagadougou pour            rencontrer le médiateur ?
                        
Capitaine Amadou Haya            Sanogo : La Cédéao, effectivement, après qu’on ait          signé un accord-cadre sur lequel nous sommes encore en train          de plancher, a pris une décision unilatérale. J’ai juste dit          non. Nous devons revenir à l’Accord-cadre pour finaliser ce          que nous avons commencé. Je crois que le message est bien          passé. Les chefs d’Etat de la Cédéao – que je respecte          beaucoup – ont encore offert l’opportunité de revenir          là-dessus. C’est pourquoi notre délégation était à          Ouagadougou. C’est la raison pour laquelle la délégation de la          médiation se trouve à Bamako. Toujours dans le cadre de la          mise en application de l’Accord-cadre.
        

              
        
Cela signifie-t-il que            tout marche bien par rapport à l’application de l’Accord            cadre ?
        
Nous sommes encore en train de repartir en          fonction de l’Accord-cadre. Donc, pour moi, tout marche bien.
        

              
        
Justement ! Selon la            clameur, le Professeur Dioncounda Traoré veut jeter            l’éponge. Est-ce la raison pour laquelle les ministres            Bassolé et Bictogo reviennent à Bamako pour convaincre à ne            pas démissionner ?
        

            
        
Je ne saurais le dire. Je n’ai pas assisté à          leur réunion. Ce que je peux dire, c’est que les ministres          Bassolé et 
            
        
Bictogo, respectivement représentant de la          médiation et de la Cedeao et du président en exercice de la          Cédéao, sont là pour l’application de la mise en œuvre de          l’Accord-cadre. Nos échanges s’arrêtent uniquement au niveau          de l’Accord-cadre. Qu’ils viennent ici, c’est normal. Qu’ils          passent voir le président de la République par intérim et le          Premier ministre, c’est tout à fait normal.
        

              
        
Un autre problème            préoccupe les Maliens. C’est la situation qui prévaut au            sein de l’armée. Même si tout le monde dit qu’elle est            maîtrisée, il y a toujours des inquiétudes. Qu’en est-il            réellement ?
        

            
        
En tant qu’officier des forces armées, je dis          que c’est fini. Je vous le dis : même si ce n’est pas cet          incident, aucun pays africain n’est à l’abri de quelques          petites difficultés par-ci ou par-là. Vous savez, dans          l’armée, il n’y a pas de politique. C’est-à-dire que dans          l’armée, si vous commettez une faute, vous êtes punis          conformément au règlement. Et demain, on se met encore en          rangs serrés pour progresser. L’incident était certes          malheureux. Nous avons tout fait pour l’éviter. Dès le premier          jour du coup d’Etat, j’ai personnellement appelé quelques          collègues (Ndlr, des officiers commandos parachutistes) pour          leur dire de ne pas s’entêter.
        
J’ai commencé une mission. Je compte la          terminer tant que je resterai en vie. Donc, ce n’est pas la          peine de faire couler du sang. Nous pouvons continuer, refaire          l’armée pour la même cause. Malheureusement, le message n’est          pas bien passé. J’ai déploré des morts dans mon camp comme de          l’autre côté. Après, nous leur avons envoyé, une fois de plus,          des émissaires pour leur dire de faire table rase sur tout et          refaire une armée forte. C’est ce dont le peuple a besoin tout          de suite. Car, il y a une réalité qui nous attend. Voilà ma          priorité et non les jeux politiques et autres. Ils nous ont          dit qu’ils ont compris, mais qu’est-ce qui s’est passé ?
        
Ce même groupe a détalé de Gao, avec dix-sept          véhicules lourdement armés du régiment des commandos          parachutistes. C’est après leur défection que Gao s’est          affaiblie. Ce qui n’est pas négligeable ! Imaginez, un peu,          dix-sept véhicules lourdement équipés ! Ils ont pris la route          de Bamako en alertant leurs camarades de les attendre pour se          payer du capitaine Sanogo des humiliations qu’il leur a          infligées.
        
Dès lors, j’ai envoyé des troupes sur la route          de Ségou, discrètement, pour les désarmer et les mettre dans          un véhicule civil, direction Djicoroni Para. C’était aussi          simple que cela. A ce propos, j’ai dit non, il n’y a rien.          Mais, l’autre jour, paf ! On me dit que le régiment para          s’agite parce que le capitaine et les hommes de Kati veulent          les attaquer. J’ai dit que c’est insensé. Alors qu’ils étaient          en train de boire, ils ont tout consommé -drogues et autres-          avec les mercenaires qui étaient déjà-là. Lorsque j’ai eu les          signes annonciateurs de l’arrivée de ces mercenaires et des          caches d’armes, j’ai procédé à des arrestations et des          investigations. Pendant ce temps, on pensait que Sanogo          effectuait des arrestations arbitraires. Pourtant, ce sont des          services spécialisés qui étaient à l’œuvre. Qui plus est, nous          les avons relâchés. Voilà ce qui est arrivé à Bamako.
        
Ces gens-là, ils se sont entêtés. Ce qui ne          pas empêché d’envoyer encore le chef d’état-major pour leur          dire Messieurs arrêtez, laissez tomber, ne le faites pas, cela          ne nous fera pas grandir. Vous savez ce qui s’est passé ? Ils          ont pris le chef d’état-major et l’ont attaché. Peu de temps          après, on m’informe que la première troupe est au niveau de          Kati Sananfara. J’ai dit que c’est sérieux. Alors on          réplique ! J’ai répliqué et j’ai nettoyé les deux camps. Le          problème « commandos parachutistes » est fini au Mali (Rire).          Ceux qui ne faisaient pas partie de cette opération saugrenue          sont en train d’être recensés. Ils seront déployés auprès de          leurs frères d’armes pour la même mission de défense de          l’intégrité territoriale de ce pays.
        

              
        
Vous avez parlé de            mercenaires. Est-ce-que vous avez des preuves matérielles            qu’il y avait réellement des mercenaires à côté de vos            frères d’armes pour vous combattre ?
        

            
        
Je le dis ouvertement. J’en ai tué sur le          terrain ! On en a capturé avec leurs armes on les a fouillés          et regardé leurs pièces. Ce n’était pas des Maliens. Je ne          dirai jamais quelque chose dont je n’ai pas la preuve. Si          l’autre mentait à son peuple (Ndrl : ATT), moi, ce n’est pas          le cas. On avait des responsables ignobles. Je dis aux Maliens          ce que je vois et ce dont j’ai la preuve.
        

              
        
Quel sort est réservé à            ces rebelles d’un autre genre ?
        

            
        
Je peux dire qu’ils sont chanceux d’avoir été          capturés vifs. Ils vont être traduits en justice et finiront          leur vie en prison. Ils peuvent s’estimer heureux.
        

              
        
Peut-on dire qu’il y            avait des mains invisibles derrières ces soulèvements ?
        

            
        
Oui ! Aux plans national et international.
        
Est-ce vrai que vous avez découvert des caches          d’armes à Bamako ?          Il y a effectivement des caches d’armes que l’on est en train          de déceler petit à petit. Les propriétaires, sinon les          commanditaires, vont connaître le même sort que les          mercenaires. Si en fouillant une cache d’armes il y a une          résistance armée quelconque, je n’hésiterai pas, une seule          seconde, pour la sécurité de mes hommes, à réagir en          conséquence.
        

              
        
Au niveau de la gestion            du pouvoir, on a l’impression qu’il y a deux chefs d’Etat au            Mali. Même si on dit que c’est Dioncounda Traoré qui dirige            le pays. Le capitaine Sanogo n’a-t-il pas la main mise            quelque part ?
        

            
        
Le capitaine Sanogo et le comité, les forces          armées sont là. Je vous dis d’emblée, les troupes qui sont là          pour ma protection, pour le service, c’est le chef          d’état-major des armées qui les désigne. A l’instant où je          vous parle, il y a un président de la République du Mali par          intérim. Il y a un Premier ministre avec pleins pouvoirs. Il y          a un gouvernement en place. Le capitaine Sanogo ne dirige pas          le Mali.
        

              
        
Pourtant, le Malien voit            le capitaine Sanogo utiliser les moyens et les symboles de            l’Etat. Pour lui, c’est le capitaine Sanogo qui est le            président de la République…
        

            
        
C’est juste une interprétation. N’oubliez pas          que mes apparitions médiatiques sont légitimes et normales. Du          fait que c’est le capitaine et ses hommes qui ont posé cet          acte libérateur que j’ai réellement trouvé salvateur. Vous          croyez qu’on pouvait juste disparaître en un ou deux mois          comme ça ? Non ! Le peuple a besoin de nous voir à son chevet.          On a besoin de faire passer des messages. Voilà la seule          raison. Sinon, ce n’est pas pour s’approprier quoi que ce          soit.
        

              
        
C’est sûr ?
        

            
        
Sûr. (Rire) !
        

              
        
Capitaine, c’est bientôt            la fin de la période intérimaire. Envisagez-vous de prendre            le pouvoir ?
        

            
        
(Rire !) Je reste dans l’Accord-cadre. Tout          est prévu dedans. Je ne permettrai à personne, je dis bien à          personne, de sortir de l’application de l’Accord-cadre.
        
La gestion de cette période est simple. Je          m’en remettrai au contenu de l’Accord-cadre qui précise qu’il          exerce une fonction d’intérimaire. Au-delà de quarante jours,          nous, Comité Cnrdre et la Cedeao, viendront ensemble à la          table pour décider de mettre en place des organes de          transition. Ces organes seront connus en temps opportun.
        

              
        
Dans l’Accord-cadre, on            parle de feuille de route qui doit définir l’organisation de            la transition à travers une concertation. En tant qu’acteur            principal de ce document, dites-nous où nous en sommes            aujourd’hui ?
        

            
        
En effet ! Je suis et je demeure l’acteur          principal de l’Accord-cadre. N’eût été, bien sûr, quelques          évènements et incompréhensions, suite à la décision          unilatérale de la Cédéao, peut-être, à cet instant-ci, on          aurait déjà progressé. Mais, je vous garantis, quand même, que          le Comité évoluera en fonction de l’Accord-cadre.
        
Avez-vous une idée de la durée de la          transition politique en vue ?          Je préfère ne pas faire de fixation là-dessus. Parce que tout          dépendra de deux choses : la vitesse avec laquelle on règle le          problème du Nord et l’élection présidentielle. Il faut d’abord          un fichier consensuel, bien organiser les élections, pour que          les Maliens élisent enfin le Président de son choix.
        

              
        
Pour beaucoup de Maliens,            le capitaine serait otage des troupes. Vos décisions            sont-elles librement prises ?
        

            
        
Je vais vous dire quelque chose. Le jour où je          débutais ce mouvement, sans fausse modestie, j’étais le seul          officier présent devant la troupe. Au fur et à mesure que les          choses évoluent, j’ai des camarades qui ont vu la cause et          sont venus, dès les premières heures, jusqu’aux premières 24          h, ainsi de suite. Pour moi, ils font partie intégrante du          mouvement. C’est après avoir appris qu’on partage la même          cause qu’on a commencé à se rejoindre. Donc, je ne vois pas          sous quelle pression, et de qui, le capitaine Sanogo serait          amené à prendre ou à changer une décision. Je vous le dis. Je          suis encore le président de ce Comité, je peux m’associer à          des collègues pour des prises de décision, prendre l’avis des          uns et des autres, mais encore une fois, la dernière décision          me revient pour toute décision qui sortira de ce bureau où          venant de ce Comité. Et quand je prends une décision, je          l’assume.
        

              
        
Une autre préoccupation :            le Nord. C’est votre priorité, vous avez eu à le dire.            Pensez-vous qu’une armée décapitée, une armée au sein de            laquelle on s’entretue, peut faire face à sa mission de            libération du Nord ? D’ailleurs, en a-t-elle les moyens ?
        

            
        
J’ai le plus grand moyen : le potentiel humain          et le moral. Si vous dites que l’armée est décapitée, je          dirai, peut-être, non. Seulement, je me suis débarrassé de ce          qui n’est pas bon. Lorsque le premier responsable d’une          structure se permet de détourner ce qui doit parvenir aux          soldats, je crois que l’absence de ce monsieur vaut mieux          qu’une armée avec un chef pareil. Je ne le tolère pas. Je m’en          suis débarrassé. Actuellement, toutes les structures de          l’armée sont là : les chefs d’état-major, le chef d’état-major          général, le ministre de la Défense. Et, au niveau des hommes          aussi, l’armée n’est pas déchirée. Il y a un soldat qui s’est          trompé, c’est qu’il s’est laissé manipuler par quelqu’un et je          l’ai corrigé. Cela appartient déjà au passé. Aujourd’hui, nous          sommes en train de voir comment il faudrait chercher, par-ci          et par-là, le strict minimum pour commencer.
        

              
        
Mais les Maliens sont            pressés. Pouvez-vous nous expliquer un peu comment évoluent            les opérations ? Qu’est-ce qui prouve que les troupes sont            jusqu’à Sévaré ?
        

            
        
Vous savez, l’opération militaire, trop          l’expliquer, c’est dangereux. Ne pas l’expliquer, c’est          dangereux. Vous avez le droit, en tant que citoyen,          d’interpréter. Le travail a commencé.
        

              
        
Le résultat, c’est pour            quand ?
        

            
        
Au fur et à mesure.
        

              
        
Revenons au capitaine            Sanogo. Vous êtes venu à la suite d’un coup d’Etat, le 22            Mars. Aujourd’hui, il y a toutes sortes d’interprétations            autour de la personne du capitaine Sanogo. On dit que c’est            un pauvre type qui est venu les poches vides et qu’après            vérification, il aurait sept cent millions de francs dans un            compte. Pouvez-vous édifier le peuple malien par rapport à            cela ?
        

            
        
(Rire !) Cela ne me surprend pas. Vous savez,          on est au Mali. Si les phases d’actions physiques ne marchent          pas, il y a les phases de diffamation. Ils peuvent tout dire.          Ils n’ont qu’à vérifier dans toutes les banques du monde. Ils          sont libres de publier ce que Sanogo a comme biens. N’oubliez          pas que j’ai passé sept à huit années de ma vie à étudier et à          me former à l’extérieur. J’ai fait des économies. A l’instant          T, Sanogo n’a rien. Au contraire, le Comité n’a même pas de          crédit. Il y a des personnes de bonne volonté qui viennent          nous donner un, deux ou trois millions pour nous aider. C’est          avec cela que je nourris les soldats que vous voyez dehors. Je          les entretiens avec ces dons.
        
Les véhicules qui roulent pour notre service,          je n’ai pas de carburant pour ce faire. C’est aussi avec ces          aides que je paye le carburant. Ensuite, au niveau de nos          unités, je suis parvenu à mettre sur pied un certain nombre          d’engins. Ce que le gouvernement passé n’a pas pu faire en          vingt ans. Actuellement, les unités commencent à devenir          opérationnelles uniquement grâce aux bonnes volontés. Donc, si          j’avais uniquement souci de me remplir les poches, j’en ferai          un autre usage. Ils se sont trompés de cible. Le capitaine n’a          rien, absolument rien. C’est pourquoi, parmi les décisions de          la Cédéao, je ne me suis pas inquiété du gel des comptes. Pour          mon cas, ils allaient uniquement geler un numéro, pas un          compte.
        

              
        
Vous vous cramponnez            uniquement derrière votre déclaration prise la nuit du coup            d’Etat ?
        

            
        
Je suis là. Les objectifs ne changeront pas.          Seulement, j’ai eu du retard dans le processus. C’est dû à de          petits évènements, par-ci et par-là.
        

              
        
Votre appel au peuple            malien ?
        

            
        
J’ai deux appels à lancer au peuple malien. Le          premier, c’est d’inviter encore le peuple malien à rester          vigilant. Car, tout n’est pas terminé. Quand je dis que tout          n’est pas terminé, c’est qu’il y a encore des individus mal          intentionnés qui peuvent cacher quelque chose. Le minimum          c’est d’informer les services de sécurité d’à côté. C’est le          premier cas. Le second cas, c’est surtout les voyageurs.          Qu’ils ne se sentent pas frustrés lorsqu’il y a des fouilles.          Il faudrait que la population elle-même contribue. Si l’on          avait commencé par cela, vous pensez que des caches d’armes se          trouveraient à Bamako ? Mon deuxième appel va à l’endroit de          nos frères du Nord. Personne n’est oublié, personne ne sera          oublié. On dit en bambara : « Mieux vaut ne pas danser que de          mal danser ». Je vous remercie !          Propos recueillis par
        
 
              
        
Nouhoum DICKO,
                  
Gérard DAKOUO et
          
Rokia DIABATE
                
Le Prétoire du 14 mai            2012
        
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